vos écrits

Parce que l'on croit pouvoir tout arrangé
Parce qu'à la fin tout est érigé
Et qu'en un souffle tout disparait
On me demande aprés de rester gaie/gay

Parce que je veux tout abandonner
Parce que je veux m'envoler
Mais j'aime et la vérité
C'est que j'ai peur de ce qui m'ont procréé

Alors j'avance les yeux fermés

Dans ce monde perdu
Je perd toute vue
Mon intuition et mes habitudes
Par les rejets se font si rudes

C'est comme si je devait en moi
Faire disparaitre tout ce qui ne leur plait pas
Mais c'est quelque-chose d'inestimable
Que de savoir qui on est en soi, qui nous rend differencable.

C'est donc pour moi necessaire
De me creer ma vie à ma manière
Car on est pas libre de nos vertues
Dans ce monde perdu

Folie de vouloir oublier
Folie d'aimer
Folie d'exister
Folie d'oublie

Je ne voulais pas vivre
Mais vous m'avez créé
Je ne voulais pas aimé
Mais je ne choisis pas
Je ne choisis rien
On nous dit libre
Libre?
On ne doit pas avoir la même version
De cette liberté

Alors j'ai mentis
Je deviens folie
C'est l'oublie qui me tiens
Tendrement entre ses mains

WO WO WOOOOOO !!! BRAVO TAKUTOOOOO!!!!!!!!!!!

c'est vrai que c'est bien écrit. En étant objective je dirais que tu pourrais aller loin. mais bon. à toi de voir.

^^

n'a moi ! :

amour d'un jour
amour d'une nuit
amour d'une folie
sans regarder autour

ouvre les yeux
le monde n'est pas si heureux
que le disent les gens
qui avance en oubliant

si tu relève la tête
tu découvriras
à quel point le monde est bête
surtout du droit chemin, ne t'écarte pas

belle geule, effeminé, b1 habillé
on dit que c'est un pd
maquillage en vrac, corps moulé en flute
on dit que c'est une pute

fait donc attention
tu es l'élitte de la nation
ne devient pas différent
si tu ne veut pas que l'on te mutile, mon enfant

encore une fois, le dernier.

Différences

Parce qu'on juge trop sur l'apparence
Parce qu'aprés rien n'a de sens
Moi je me ferme au tabou
Et ainsi j'avous tout
Parce qu'on a peur de parler haut
Parce qu'on se met tout le monde à dos
Moi j'avous j'aime les filles
Moi j'avous j'aime les mecs
Et si ça pose problème à quelqu'un
Qu'il vienne me voir enfin
Pour me dire ce qui le choque
Pourquoi surtout?
Si t'es un mec j'aime bien les filles, comme toi
Si t'es une fille j'aime bien les mec, comme toi
Sauf que moi c'est les deux
Et moi j'en suis heureuse
Alors tais toi s'il te plait
Et accepte ce fait!

O_O GE-NIAL !!!!!!!

regarde moi, regarde moi
c'est vrai, je ne suis pas comme toi
mais est-ce une raison
pour me faire tourner en rond ?

regarde moi, regarde moi
suis-je si différente de toi ?
c'est vrai je sort de la norme
c'est vrai, je n'ai pas beaucoup de formes

regarde moi, regarde moi
si tu le veux je partirai, comme cela
tu ne me vera plus
et pour toi, j'aurai disparut..

On veut s'envoler
On veut tout quitter
On n'a pas raison pour vivre
Mais il en existe trop pour ne pas mourrir
Et puis en rencontre
Celui qui nous fais battre le coeur
On renconte
Son aimé, son âme soeur
Alors on danse bras dessus bras dessous
Sans penser au passé
Ne regardant pas le présent
Par peur du mal
Le bouclier c'était fissuré
Avant d'éxploser
Ca fait mal
Mais on aime
Alors on avance
On fait tout pour le reconstruire
Oui on aime
Alors on supporte
Le temps de trouver solution

KL

T_T c'est bÔ

bah voila une des mes autres histoires elle fait partit de mes préférée

Elle marchait dans le noir, tous les jours, tout le temps. Il n’y avait plus d’espoir, plus de lumière pour elle. Au début c’était juste un petit trou noir, puis il s’est agrandit, l’a enveloppée pour laisser place au désespoir. Elle pleurait souvent seule, silencieusement. Devenue invisible on ne la voyait plus, elle n’existait plus, elle n’était plus rien…juste une âme perdue ? Son reflet dans le miroir était pâle, blanc presque transparent. Il n’y avait plus de couleur, plus de joie qui brille dans les yeux, de sourire qui illumine un visage….
Qui était elle, qu’était elle devenu ? Un fantôme ? Un robot accomplissant les gestes de la vie comme se lever, s’habiller, partir travailler…, tout cela chaque jour mécaniquement comme un rite. Elle revenait pour s’écrouler sur son lit, se prostré, pleurer, elle ne dormait pas, plus
Non elle était juste …là.

Et puis il est arrivé, tel un ange, son ange. Elle l’a vu tout de suite assis au bord de la fontaine du parc de la ville. Dès les premières secondes où ses yeux se sont posés sur lui, elle a compris. Il a tourné son regard vers elle, aucun des deux ne prononçaient une parole, ne souriaient…Identique à elle, il était son reflet lentement elle s’est approchée. Il n’y avait pas besoin de mot, le lien était là, un fil invisible les reliant. Ils sont restés des heures, une nuit, longtemps, l’un à coté de l’autre assis. Parfois leurs regards se croisaient et ils restaient une ou deux minutes à s’observer pour de nouveau regarder devant eux.
Leurs mains se joignirent dans la dernière heure d’un même mouvement. Puis elle partit, c’était l’heure, mais la flamme «était dans son cœur.

Le lendemain il était encore là, l’air de ne pas l’attendre mais c’était le cas, elle sourie alors pour la première fois depuis bien longtemps, lui aussi. Les heures passèrent de nouveau comme la veille mais leurs mains étaient liées, comme un signe de promesse ? De nouveau elle dut partir, elle l’embrassa, baiser timide posant juste ses lèvres délicatement sur les siennes. Il l’a laissa partir a regret, sachant qu’il la reverrait le lendemain.

Il ne sut jamais ce qui s’était passé, personne ne le sut. Lui, il l’attendit toute la nuit, elle ne vint pas et au fond il compris alors que c’était finis mais ne voulait pas y croire. Le lendemain en passant devant le cimetière, il y vit du monde. Pris d’un sentiment étrange, il se joignit au cortège. C’est alors qu’il la vit, là dans se cercueil immobile les yeux fermés. Elle ne les rouvrirait jamais maintenant. Penché au dessus d’elle, il lui caressa la joue, froide ! Une femme le regardait sans rien dire. Il comprit qu’elle était sa mère de même que celle-ci dut comprendre qui il était car elle hocha la tête lentement. Le message était passé il avait l’autorisation, il se pencha sur celle qui était désormais a jamais dans son cœur, embrassa ses lèvres froide et murmura à ses oreilles : »Je t’aime…garde espoir et attend moi ! »
Sur ce il se releva et sans un regard partit au loin, son manteau de cuir noir volant dans le vent, ses bottes faisant crisser le gravier.

Il ne l’oublierait pas, ses mots qu’il lui avait murmurés furent les premiers et les derniers mais il savait qu’elle l’avait entendu. Aujourd’hui c’était elle son ange qui de la haut le surveillerai. Il sentait sa présence autour de lui. Non ce n’était pas fini, juste un mur entre eux mais elle était là !

Suicide…ou accident….ou meurtre ?

Elle a sauté du haut d’un pont...

Les journaux conclurent au suicide….

…Une personne................
qui a retrouvé l’envie de vivre se suicide t’elle ?

O___O OOOOOH !!!

VoUs :

Je ne pensait pas,
Qu'en partant comme cela,
Je soufrirait autand,
En y repensant...

Je ne pensait pas,
Qu'en les acrochant,
Je pleurerais,
Que mes larmes couleraient...

Je ne pensait pas,
Inscrire vos noms,
Murmurer vos prénoms,
Rêver vos voix...

Je ne pensait pas,
Que ce serait si dure,
Qu'il fallait être si mâture,
Pour quitter vos pâs...

Je ne me suis pas habituée
A ouvrir mes yeux
Voir autour de moi
Des personnes que j'aimais
Ainsi me renier

Je ne me suis pas habituée
A mentir effrontement
En gardant le sourir
En se parrant au pire
Et ce tout le temps

Je ne me suis pas habituée
Aux paroles des personnes
Qui me disent que pendant un moment
Je vivrais l'Enfer sur terre
Alors que j'aime
Et que c'est un paradis

Je ne me suis pas habituée
A devoir habituer les gens
Qui ne veulent pas s'abituer
Au changement

.KL

sur le coup, trop horrible I know-_-('

meuuuuuuh si il est bien !!! comparé au mien -_-'

Mon amour ! (pour toiiiiiii)

Je murmure ton visage,
Je rêve ton corps,
Ces pensées ne sont aps sages,
Mais j'aime ce décors.

J'ai tant à te dire,
Tellement à t'écrire,
Il ne me faut qu'une image,
Pour m'envoyer dans les nuages.

J'aimerai te toucher,
Au lieu de te parler,
J'aimerai te serrer dans mes bras,
Quand ça ne va pas.

J'aimerai tellement, oui tellement,
tte montrer,
à qu'elle point tu compte d'exister,
Pour moi en cet instant.

Je suis à toi,
Tu es en moi,
Et par un baiser,
Tu nous dit d'exister.

suis toute émue (dans mon langage en ce moment ça donne plus: jsuis toute ébue)

loooooooool merciiiii ça me fait plaisir my love, ptit ange adorée ^^

Dis Mon Ange...

Dis mon ange, pourquoi la vie,
Est si dure, dure, dure...

Dis moi,
pourquoi tout ces gens,
Nous regardes bizzarement ?
Serais tu me répondre, toi ?

Dis mon ange, pourquoi la vie,
Est si dure, dure, dure...

Dis moi,
Parce que je croie en toi,
Que je croie en nous,
Les gens en deviennes fou ?

Dis mon ange, pourquoi la vie,
Est si dure, dure, dure...

Murmure moi tes mots doux,
Remplis d'amour et de larmes,
Car ces mots sont des plus fous,
Et plus dur qu'une arme.

Dis mon ange, pourquoi la vie,
Est si dure, dure, dure...

On a les mêmes passions,
Les même centres d'admirations,
Et malgré toutes leurs questions,
Je n'ai pour réponce que ton nom...

Dis mon ange, pourquoi la vie,
Est si dure, dure, dure...

Je te désire, je t'aime,
Je voudrais te faire mienne,
Et par le dégout que cela leur inspire,
Je flanche par leurs dirs.

Dis mon ange, pourquoi la vie,
Est si dure, dure, dure...

Ils ce croient martyres,
Et nous les satyres,
Ils veulent nous fuirs...
Ils veulent en mourir...

Dis mon ange, pourquoi la vie,
Est si dure, dure, dure...

Et nous, que devons nous faire ?
Devons nous vivre ou mourir ?
Devons nous rster ou partir ?
Dis moi pourquoi mon coeur ce serre...

Dis mon ange, pourquoi la vie,
Est si dure, dure, dure...
Dis mon ange, pourquoi lui aussi,
Notre sourire, ne dure, dure, dure...

Dis mon ange,
..............pourquoi t'écrire,
....................me fait tand soufrire...

oÔ

/se met à chialer ça faisais longtemps-

La vie est injuste
Mais nous rend son mal en bien
Le futur me parrait doux
Tellement calme et serain
C'est pour ça que j'avance


J'ai beau lire les poèmes de Verlaine
Ils ne reflettent pas assez combien je t'aime
Alors je m'improvise Baudelaire
Pour pouvoir mieux faire
Et décrire les sentiments
Que ressent mon coeur aimant
Quand enfin je t'entend

J'espère ainsi pouvoir tenir
Sans jamais perdre le sourire
Qui me viens quand on s'écrit
Des mots d'amour et nos envies.

tu m'a fait verser une larme....c'est trop beau, ça me touche snuf snuf *mouche*

Version non censurée de Défoncez Défonce moi, Saez (vus qui en a qui apprécie, lol ^^)

Défoncé , Défonce moi

J'y peux rien tu m'allumes
Rien qu'à me regarder
Ca m'excite ça me défonce rien,
Qu'à te voir danser à mes genoux
Comme un ange en danger
Tu me le fais ça me le fait
De te savoir pareil
Écorché déchiré jusqu'à n'en plus savoir
A n'avoir jamais su
Qui je suis où je vais
Je sais plus si c'est toi
Qui suce ou si c'est moi
qui pousse et qui rentre à l'interieur de toi
à m'en imploser le coeur!
à m'en exploser le coeur!
Écorché déchiré écartelé x2

Défoncé défonce moi, moi sans dessous dessus
Déchiré déchire moi, moi sans dessous dessus

Attends moi tu vas voir ce que tu fais de moi
Attend moi tu va voir ce que je fais de toi!

Tu es beau quand tu jouis
C'est moi qui m'extasie
Tu es beau quand tu m'obéis
C'est moi qui m'extasie
Attends moi tu vas voir ce que tu fais de moi
Attend moi tu va voir ce que je fais de toi!
Tu es beau quand tu jouis
C'est moi qui m'extasie
Tu es beau quand tu m'obéis
C'est moi qui m'extasie!


Nous plaire nous déplaire, nous faire et nous refaire
Nous plaire nous déplaire, le faire et le refaire
Allez suce mon amour

Défoncé défonce moi, moi sans dessous dessus
Déchiré déchire moi, moi sans dessous dessus

Que l'on brûle en enfer...

J'adore ^o^

http://www.nuaj.ch/images/decouvertes/album/saez.jpg]

HAAAAAAAAAAAAA MAIS CACHE MOI SAAAAA XXD

FIC ORIGINALE

Les chemins de la rose


Chapitre 1


L’histoire qui débute ce passe dans un établissement comme il en existe beaucoup à travers le monde. C’est un lycée privé qui comporte quatre étages de salles de cour, et un étage réservé aux enseignant où se trouve l’accueil et le reste. Plutôt d’un genre moderne, il a été construit il y a trois ans et est en parfait état ! Il regroupe quatre catégories différentes : une pour la photographie, une consacrée au dessin et aux écrits, une autre pour le chant, et la dernière est pour l’horticulture.

C’est le jour de la rentrée des classes. Miyavi Haruno, jeune garçon de 17 est nouveau, il a passé le concourt pendant les vacances pour changer d’établissement car ses parents sont partis faire le tour du monde à la recherche de civilisations différentes, de peuples reculés, de mystère, bref… Ils sont de célèbres journalistes. Du coup, le jeune homme c’est loué un appartement dans la ville de Kita Kyushu, une ville peuplée de fleurs et qui paraît bien conviviale, enfin…

Miyavi est plutôt d’un genre tranquille et rêveur. Il est très gentil et paraît souvent pensif, n’aime pas les conflits mais aime la calligraphie qu’il pratique tous les jours, le dessin et les écrits… C’est d’ailleurs dans cette catégorie qu’il a été reçu. Mesure 1m84 pour 70 kg, il a les cheveux blonds, mi-long, des yeux ambres et profond.

Il est 14h, une conférence a lieu dans quelques heures mais, n’ayant rien à faire, autant arriver en avance ! Le discourt avait lieu pour les nouveaux et pour former les nouvelles classes. Miyavi franchit les grilles et…
Il vit apparaître devant lui d’immenses murs de buissons parsemés intérieurement de ronces. Une chose était sûre, on ne pouvait pas couper à travers !
Il s’approcha de l’entrée, une affiche était placardée et non signés. Elle adressait quelques mots aux futurs entrants :




_ « Soyez les bienvenues dans cet établissement ! Je vous félicite tout d’abord d’avoir étés admis à l’examen d’entrée ! Mais ce n’était que le début ! Vous serez véritablement inscrit ici seulement si vous arrivez au bout !
Aller, bon courage et…tachez de faire attention a vous !.. »

M_* Mais qu’est-ce que c’est que ce truc ? De plus, la dernière phrase n’est pas rassurante du tout. Enfin… rien ne m’empêche d’essayer quand même*
Gardant son air calme, fourrant ses mains dans ses poches. Allons-y, pas la peine de s’éterniser ici !

A peine avait-il pénétré à l’intérieur que déjà, l’ambiance ce faisait plus austère et pesante. Surpris, il continua quand même.

En jetant un bref coup d’œil derrière lui pour apercevoir la sortie, il ce rendit compte que…

M_Quoi ??? Mais elle a disparue !!

Il ne lui restait plus qu’a avancer. Après une heure de recherche, il vit au loin un panneau qui surplombait le labyrinthe. Un cadran indiquait une heure : « 3h00 ». Il regarda intentionnellement sa montre et vit que l’heure qui y était inscrite était bien différente : « 14h00 ».

M_ Hein ?! mais cette horloge n’est pas à l’heure !

En relevant la tête il découvrit que l’heure avait changée, elle notait maintenant « 2h54 ».

M_ tilt. *serai-ce… * OUI ! un compte à rebours !? Cela voudrait dire qu’il y a un temps limité pour arrivé jusqu’au bout ?

Il resta une minute à réfléchir, puis, au moment ou il voulut ce remettre en route, il entendit une voix mêlée à des ricanements enfantins.

_ hihihi…La voix avait l’air de ce déplacer en tournant autour de lui. Elle lui indiqua soudain :




_ droite, droite, deuxième gauche, tout droit, gauche, droite et toujours tout droit jusqu'à la sortie…

Le garçon, intrigué, suivit tout de même la voix de ce qu’il supposait être une jeune fille.
Vingt minutes après, la sortie apparut devant lui. Des roses superbes et de toutes sortent ce formaient en un arc gracieux au dessus de l’allée principale et étaient mélangées à des glycines, ce qui créait un parfum délicieux. Tout avais pour attirer et envoûter, mais il n’avait pas le temps !
Il arriva devant une porte en verre satinée parsemée de gravures intérieures. Il se mit à chercher une poignée lorsqu’une voix se dressa :

_hahaha. Si tu n’entre pas le code, tu ne risque pas de rentrer ! enfin, je te félicite quand même d’être parvenu jusqu’ici…Tu es nouveaux, toi, je me trompe ?

Un garçon avait surgit.

M_ * hein ? mais d’où il sort celui-là ? * Ques’tu veux ?

_ Entrant le code. T’inquiète va, j’en veux pas a ta ptite bouille ! le regardant. Forcément, tu ne risquait pas de pouvoir y arriver sans moi !! ha-ha-ha !

M_ * mais c’est qui ce mec ?! *

Ce mystérieux garçon apparut de nul part venait d’entrer.

M_ * c’est vraiment étrange… On dirait que tout est fait pour décourager les nouveaux à pouvoir y arriver… Et ceux qui ne ce souviennent plus du chemin alors ? * tout bas : comme si tout devais rester secret !

Miyavi entra à son tour le code qu’il avait bien pris soin d’observer lorsque le garçon l’avait tapé. Il l’entra à son tour et…

M_ HEIN ???…


Fiiin du chapitre 1, j’espère que cela vous a plus ! La suite est en préparation !

J'aime bien l'idée ^^

J'ai le sdlpb depuis un moment, pas d'humeur à écrire :'(

Voila deux extrait de la première version d'Aaron et Kaïra

Interdit= le monde normal, comme on le vit avec les voitures l'électronique et tout le batatouin

Onirique= le monde des rêves, un monde où les rêves se trouvent dans les airs et les seuls à pouvoir y accéder possèdent des ailes, et le sol où l'on ne peux poser pied sans réveiller un cauchemar

Interdit:

Kaïra s’éveilla en sueur et en sursaut. Le premier réflexe qu’elle eut fut celui d’hurler le nom de son frère... Elle savait pourtant qu’il ne répondrait pas... Elle le sentait. Il était réellement resté là bas... Tout ce qu’avait dit cet homme était donc réel?
« Mais... qu’est ce que je me raconte encore, ce n’est qu’un cauchemar, un de plus, c’est tout... Il dort encore, je vais lui faire son petit déjeuner, il va être content... »
Pensa t’elle pour se rassurer bien qu’un doute subsistait.
Elle partit donc faire le repas et remonta quelques instants après avec un plateau garnit de tartine à la confiture de mûres, un bol de chocolat chaud et une orange, un petit déjeuner comme Aaron aimait quoi... Elle entra dans sa chambre, les volets encore clos elle posa le plateau comme elle le put sur le bureau à droite de la porte et se dirigea vers la fenêtre pour ouvrir et aérer.
« Allez Aaron, c’est l’heure du réveil!!! les coqs chantent et ton déjeuner est prés! »
Dit elle dos à lui. Elle se retourna alors et le vit à terre, un blessure au visage, longue balafre encore ouverte...
« MAMAN!!!!!! »
Elle se précipita vers son frère et prit une serviette qu’elle avait à la main pour le déjeuner et épongea le sang, du moins essaya...
« C’est impossible... impossible ... c’était une rêve, un cauchemar, un simple cauchemar... Aaron... Aaron ... non... »
Pensa t’elle avant de s’évanouir à côté de son frère.
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Onirique:

« - La vie est longue lorsqu’on ne peut l’exprimer haut et fort...
- Pourquoi dis-tu ça?
- Dans l’interdis je suis muet...
- Muet, c’est quoi, c’est grave?
- Cela veut dire que je ne peux pas parler.
- Mais, c’est impossible! Comment ne peut-on pas parler?
- Beaucoup de chose qui existe dans l’Onirique défit la pensée dans l’Interdit. Dans celui ci, certaine personnes n’entendent pas, ne voient pas ou encore on perdu l’usage d’un membre... c’est ce qu’on appelle une cécité .
- Et, est-ce que certains sont comme nous? Sans cesse idées?
- Cécité... et oui pour ta question. C’est assez rare ce genre de cécité mais il en arrive des fois... Oui c’est ça, rare... et l’inconnu fait peur. »
Elle ne prit pas compte de sa dernière remarque et continua sur sa lancée, telle était Lyra quand elle était fascinée par l’inconnu et non apeurée.
« - Es tu m’as dis que vous ne saviez voler, comment faites-vous donc pour vous déplacer?
- On marche sur terre.
- Mais... [les monstres]...
- Dans notre monde ce genre de monstres n’existent pas... Mais il y a des êtres humains disons « normaux » pour les remplacer... Des personnes aimant faire le mal aux autres et même des fois à eux même... »
Il pensait aux meurtres, suicides, guerres, mais aussi de ceux qui se moquaient de son mutisme...
Elle le regarda un instant. N’osant briser le silence dans lequel c’était réfugié le jeune homme. Ce fut d’ailleurs lui qui brisa donc ce court moment où le seul bruit qu’on entendait étaient ceux de leurs ailes dont les plumes s’entrechoquaient en un bruit infime.
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O________________O

je suis fan de tes écrits yume-san !!!

Petit Ange...

Petit ange veux du sang,
dis, dis, tu m'en donerais ?
Jusqu'a oublier que je suis enfant.
dis, dis, est-ce que j'oublierais ?

J'oublierais mon âme,
Pour cette odeur ?
J'aprendrai les femmes,
Pour ce bonheur ?

Pour aimer la chaire et le sang...
Je ne serais plus l'enfant,
Que tu connaissais jadis,
Avant que cette partie de moi ne pourisse...

Petit ange veux du sang...
Encore et toujours,
Petit ange veux du sang,
A en oublier l'amour...

mon coeur...

pourquoi m'as tu abandonnée
moi qui pour toi existait
je me sens si déconectée
depuis que tu m'a quittée

je sens encore en moi
ton coeur battre
mais il est a présent de plattre
et ce casse encore une fois

j'ai sentie ma vie s'arrêter
une seconde, un instant
comme si tout s'éffondrait
sans me laisser le temps

et c'est toi
petite âme inocente et pure
qui en un clin d'oeil
a détruit ma vie
comme tu l'avais construit